Histoire et revue de presse à travers les âges
La mémoire du cinéma de la Chapelle Basse-Mer, de l’association, des bénévoles
.
Avant propos
Je vous parle d’un temps…
D’un temps pas forcément si vieux, où parler du Cinéma Jacques DEMY de Divatte sur Loire à quelqu’un lui aurait laissé un grand point d’interrogation dans le regard : “Connais pas !”. Mais si on lui avait demandé où se trouvait le Jeanne d’Arc à la Chapelle-Basse-Mer, alors là : “A coté du stade, en face de la salle des fêtes !”
Depuis de nombreuses années, Nadine, une bénévole du cinéma, archive consciencieusement les coupures de journaux concernant notre cinéma, dans un cahier. Il y a dans ces articles des photos et des textes qui constituent donc la mémoire de l’association. Etant moi-même bénévole à Jacques DEMY, et m’occupant de la vie du site, j’ai pensé que cela pourrait intéresser certains de connaître l’histoire et la vie de ce cinéma. Je vous présente donc un extrait de ces archives, ainsi qu’un condensé de l’histoire du cinéma.
Pierre Saunière, bénévole projectionniste
Avant propos
Je vous parle d’un temps…
D’un temps pas forcément si vieux, où parler du Cinéma Jacques DEMY de Divatte sur Loire à quelqu’un lui aurait laissé un grand point d’interrogation dans le regard : “Connais pas !”. Mais si on lui avait demandé où se trouvait le Jeanne d’Arc à la Chapelle-Basse-Mer, alors là : “A coté du stade, en face de la salle des fêtes !”
Depuis de nombreuses années, Nadine, une bénévole du cinéma, archive consciencieusement les coupures de journaux concernant notre cinéma, dans un cahier. Il y a dans ces articles des photos et des textes qui constituent donc la mémoire de l’association. Etant moi-même bénévole à Jacques DEMY, et m’occupant de la vie du site, j’ai pensé que cela pourrait intéresser certains de connaître l’histoire et la vie de ce cinéma. Je vous présente donc un extrait de ces archives, ainsi qu’un condensé de l’histoire du cinéma.
Pierre Saunière, bénévole projectionniste

Comme beaucoup de cinémas en France à cette époque, c’est d’abord par le patronage paroissial que les premières projections de films vont se faire
En effet, les salles de patronage cherchent des moyens d’occuper la jeunesse tout en la formant
Pour comprendre l’histoire de notre cinéma, il faut remonter 1908, avec l’inauguration d’une salle de patronage à la Chapelle-Basse-Mer, rue des Gringalets (l’actuelle rue du stade).
C’est une société créée et gérée par la paroisse, et dont les buts sont :
– les séances récréatives
– les excursions études
– les conférences
– les formations physiques, intellectuelles et morales de ses adhérents
– le théâtre
Puis rentreront au fil des années la musique et le football dans l’association.
En 1927, l’évêché crée une association loi 1901, gérée par des bénévoles, le nom de cette association est “Société Jeanne d’Arc d’éducation populaire”,

Cachet se l’association

Dépot des statuts de 1927


A partir du 10 janvier 1946, le cinéma vient s’ajouter à ces activités.
Résumé historique, du cinéma Jeanne d’Arc à Jacques DEMY
1946 : démarrage de l’activité cinéma, sous la présidence de M. Ferdinand DOUILLARD,avec un projecteur 16 mm et une distribution sélectionnée…
Puis en 1956, l’installation cinématographique est entièrement modernisée, et la salle est refaite. Elle sera à nouveau refaite totalement en 1963.
En 1965, le groupe sportif décide de se séparer et de constituer une société indépendante. En 1967, c’est au tour du groupe musical de se séparer de la société Jeanne d’Arc. Le cinéma prenant une grande importance dans la société, le rapport d’activité lui a été entièrement consacré en 1969.
En 1970, le cinéma connait quelques difficultés financières dues aux dettes contractées pour les travaux et à la baisse de fréquentation de la salle.
A partir de 1980, le cinéma est sur le point de baisser le rideau car la baisse des entrées est catastrophique (4000 par an).
En 1983, c’est la création d’une nouvelle société : la société Jeanne d’Arc n’est plus qu’un cinéma.
Toujours en 1983, augmentation des entrées de 2822 en un an. Puis en 1984, les entrées sont en très nette augmentation (10222)
En 1985, c’est l’essai de passage de 2 films par week-end.
En 1994, la mairie achète les murs du cinéma, le nom “Jeanne d’Arc” est remplacé par celui de “Jacques DEMY” et la façade est repeinte à son image.
En 2006, la salle et le hall sont entièrement refaits. C’est l’état actuel de l’espace Jacques DEMY, qui accueille à la fois le théâtre du point rouge et notre cinéma.
A partir du 10 janvier 1946, le cinéma vient s’ajouter à ces activités.
Résumé historique, du cinéma Jeanne d’Arc à Jacques DEMY
1946 : démarrage de l’activité cinéma, sous la présidence de M. Ferdinand DOUILLARD,avec un projecteur 16 mm et une distribution sélectionnée…
Puis en 1956, l’installation cinématographique est entièrement modernisée, et la salle est refaite. Elle sera à nouveau refaite totalement en 1963.
En 1965, le groupe sportif décide de se séparer et de constituer une société indépendante. En 1967, c’est au tour du groupe musical de se séparer de la société Jeanne d’Arc. Le cinéma prenant une grande importance dans la société, le rapport d’activité lui a été entièrement consacré en 1969.
En 1970, le cinéma connait quelques difficultés financières dues aux dettes contractées pour les travaux et à la baisse de fréquentation de la salle.
A partir de 1980, le cinéma est sur le point de baisser le rideau car la baisse des entrées est catastrophique (4000 par an).
En 1983, c’est la création d’une nouvelle société : la société Jeanne d’Arc n’est plus qu’un cinéma.
Toujours en 1983, augmentation des entrées de 2822 en un an. Puis en 1984, les entrées sont en très nette augmentation (10222)
En 1985, c’est l’essai de passage de 2 films par week-end.
En 1994, la mairie achète les murs du cinéma, le nom “Jeanne d’Arc” est remplacé par celui de “Jacques DEMY” et la façade est repeinte à son image.
En 2006, la salle et le hall sont entièrement refaits. C’est l’état actuel de l’espace Jacques DEMY, qui accueille à la fois le théâtre du point rouge et notre cinéma.


La salle est rénovée en 1963
De octobre 63 à décembre de la même année, la salle est entièrement rénovée
Du bois au confortable skaï
Changement des claquettes (sièges) en bois et de bancs par des fauteuils en skaï rouge
Des revêtements muraux en moquette rouge et en tissu plissé gris
1966 : passage au 35 mm
Du 16 mm au 35 mm…
Jusqu’à cette date, le cinéma avait un équipement assez simple (comme beaucoup de patronages à cette époque) puisqu’il utilisait un projecteur 16 mm sonore, dans une salle sommairement équipée d’une cabine en bois placée dans la salle elle-même
2 appareils sonores Cinemeccanica 35 mm type Victoria IV/E avec lanterne Xénon sont rachetés au cinéma Apollo de Nantes. Ils tourneront jusqu’en 1999, ce sont ceux que vous pouvez encore voir aujourd’hui dans le hall.

1982 : les bénévoles mettent la main à la pâte
Réfection du hall
Placo, peintures, plusieurs bénévoles retroussent leurs manches afin d’améliorer l’accueil du hall.


Ci-dessous, un voyage dans le temps à partir de coupures de journaux
Ces coupures de presse constituent une partie de la mémoire de notre cinéma, ce média permet un simple partage de ces documents à l’attention des bénévoles, anciens ou actuels. Ils proviennent pour la plupart des journaux locaux : Ouest-France, Presse-Océan, L’Hebdo. L’origine est citée lorsqu’elle est mentionnée (manuscrite sur le document).
Septembre 1988 – A nouveau des travaux ont été effectués
La salle Jeanne d’Arc est rénovée par des bénévoles
Ne disposant pas de photos plus anciennes (mais si vous en avez, prenez contact avec moi), nous commençons la revue de presse en 1988
L’espace Jacques DEMY n’existe pas encore, la salle est propriété de l’évéché
Comme mentionné plus haut dans l’historique du cinéma, c’est en 1994 que la mairie rachètera la salle.

Mars 1991 : un nouveau président
“Robert MORICE élu président du Jeanne d’Arc”
A l’issue de l’assemblée Générale, Robert MORICE remplace donc Michel GRIVARD, après 12 années de présidence
.

1991 : deux avant-premières de choix !
“La reine blanche” et “Jacquot de Nantes”
Tournés pendant l’été 1990 en même temps à Nantes, avec des moyens inégaux mais pour des résultats de même valeur, ces deux films, qui sortent à peu près en même temps, ont pu passer en avant-première au Jeanne d’Arc
L’article ci-contre mentionne également la sortie annuelle du cinéma, cette fois-ci au Croisic.
Les sorties de l’association
Dans la vie d’une association, la sortie annuelle (aujourd’hui tous les deux ans) est l’occasion d’une journée sympathique passée dans un autre cadre. C’est souvent l’une des équipes qui organise – en gardant le secret pour un effet de surprise – la sortie.
C’est donc souvent l’occasion d’un article dans le journal, qui en profite pour parler de la programmation du moment.

1993
Une remise de deux médailles du mérite cinématographique
Article sur un compte-rendu d’Assemblée Générale de l’association, avec 2 médaillés.

Octobre 1993
Forte augmentation de la fréquentation du cinéma : + 25% cette année
Depuis 1992 en effet, à peu près tous les cinémas de France étaient en perte de vitesse. On comprend le Jeanne d’Arc d’être fier de sa spectaculaire remontée !

Novembre 1993
A bonne programmation, bonne fréquentation…
On l’a vu plus haut, la fréquentation d’un cinéma dépend d’un nombre de facteurs assez variable, dont bien sûr la qualité des films programmés. En novembre 1993, on peut voir que les sorties de “grands” films vont remplir notre salle sans problème.

1994 : le Jeanne d’Arc devient Cinéma Jacques DEMY
Inauguration du cinéma, et fresque sur la façade
La salle est inaugurée avec la projection de 2 films de Jacques DEMY : “Une chambre en ville” et “Le sabotier du Val de Loire”, et puis bien sûr “Jacquot de Nantes” d’Agnès Varda.

1995 : comme tous les ans, préparation du festival
Etat des lieux…
Certes le cinéma a été racheté par la mairie, mais observez-bien sol et murs, mobilier, quelques améliorations s’imposent.


Mars 1996
L’arrivée du son Dolby™
La qualité du son, au cinéma, c’est aussi important que la qualité de l’image. Et en matière de son, le passage en son Dolby marque une étape importante dans la vie d’un cinéma. En lisant l’article de plus près, on y lit le recrutement d’une future présidente de l’association.

1998 : le Cinéma Jacques DEMY fait sa rentrée
35 bénévoles, un nouveau programme
Après un bonne fréquentation en juillet, c’est parti pour une nouvelle année

1999 équipement et inauguration de nouveaux appareils
Achat d’un 35 mm Victoria 5 avec dérouleur
– Fin de la projection via deux projecteurs !

Le travail du projectionniste se modifie
S’il faut monter en 1 seule bobine le film qui arrive en plusieurs bobines (et donc le démonter en fin de la dernière projection…), en revanche diverses sécurités automatiques permettent au projectionniste d’être dans la salle lors de la projection.
Ci-contre, l’installation du Victoria V, avec le rack son Dolby, mais pas encore le son DTS ni le surround, ça viendra plus tard…

Mars 2002
Bilan d’un festival
Comme chaque année, le cinéma organise son festival d’hiver. 3 films étaient au programme, pour un bilan très positif
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Après 10 ans de présidence, Dominique Douillard laisse la présidence à Anne-Françoise Pilet, et présente le projet des travaux
La salle va être entièrement rénovée par un important projet de travaux, à partir d’octobre 2005. Elle fermera pendant 6 mois, le hall et la salle sont refaits à neuf. C’est la salle telle que vous la connaissez aujourd’hui.

Avril 2005
Des travaux pour 6 mois, et, au passage, le journal parait en couleur…
La salle va fermer donc pour 6 mois, un petit article ne nuit pas pour maintenir malgré les travaux une présence dans l’esprit des spectateurs. Dominique Douillard assure le suivi de ces travaux, dont il décrit l’urgence et l’état de vétusté de l’ancien local…

Décembre 2005 : fermeture pour travaux
Comme annoncé depuis plusieurs mois, la salle va fermer ses portes pour travaux
Cette fois-ci, c’est la bonne date (plusieurs fois repoussée), la mairie commence les travaux.
L’équipe du bureau profite de l’article dans le journal pour présenter les futures nouveautés dans le hall, et faire la promotion auprès des communes avoisinantes.


Janvier 2006
Une dernière séance, mais pas LA dernière séance…
Un nouvel article sur notre salle, un point sur les travaux avec le maire et l’équipe municipale, et l’annonce de la prochaine ré-ouverture de la salle, après réfection totale.

Février à septembre 2006
La salle est remise à neuf, entièrement, ainsi que le parvis
La salle est modifiée du sol au plafond. L’inclinaison de la salle augmente, est tapissé d’une moquette, tandis que le plafond est réalisé en arrondi afin de donner une excellente acoustique. L’écran est agrandi et mis aux normes, la salle peut ainsi accueillir 171 personnes
Le bar, le hall, les sanitaires sont totalement refaits, le sol du hall a un parquet + carrelage neuf


Pose des pavés
Installation des sièges
2006 AG et ré-ouverture
AG en avril, réouverture après travaux en septembre
Les travaux sont en cours pendant les 6 premiers mois, puis l’association va pouvoir reprendre son fonctionnement normal. On peut noter la recherche de bénévoles, car il n’y a plus que 39 personnes en 2006.

Janvier 2010
On prépare le futur festival
Le festival ayant lieu en février, le mois de janvier est bien occupé pour les bénévoles, un article dans le journal aidera à faire connaître notre festival annuel

Janvier 2010 et février
Un petit point sur le cinéma Jacques DEMY
Il est bon de faire un point, de rappeler l’histoire de ce cinéma (cette page internet en est une preuve…), Anne-Françoise, la présidente de l’association qui gère le cinéma fait donc un point autant sur le positionnement de la salle sur la commune que sur la fréquentation de l’année passée. L’historique de la salle n’est pas oubliée, où l’on y apprend l’apparition du cinémascope en 1956.
A ce propos, les deux appareils 35 mm qui sont exposés dans le hall sont les deux appareils qui servaient jadis en projection du temps de la salle Jeanne d’Arc. Ils avaient été achetés d’occasion au cinéma Appolo de Nantes.

Novembre 2013
Cinéma Jacques DEMY reçoit un réalisateur
Notre salle étant Art et Essai, nous organisons plusieurs fois par an des animations autout d’un film. Ce soir-là, nous recevions un réalisateur, Robert COUDRAY, ainsi qu’un acteur chapelain bien connu de tous : Christophe HAMON, pour une soirée pleine de poésie.
Pour la petite histoire, le cinéma a organisé sa sortie annuelle 2 ans plus tard dans le superbe village où a été tourné et où vit Robert COUDRAY

Soirée débat autour du film ‘Les nouveaux chiens de garde’, mars 2012
Une projection suivie d’un débat, animé par plusieurs journalistes locaux

Festival ‘Demy Marathon’, thème sur le sport, mars 2012
Parmi de nombreux films, une magnifique projection du ‘Grand bleu’

Festival Carte blanche pour salles obscures
Les spectateurs ont choisi sur une liste les 5 films qu’ils préfèraient voir ou revoir

Soirée Halloween : 31 octobre 2012
2 films pour cette soirée Halloween

Mercredi 28 novembre : projection du film “Broadway”
projection du film “Broadway” suivi d’une discussion en présence de la réalisatrice Judith JOSSO

Février 2014
A nouvelle année, nouveau festival !
2014 suit les traditions : un nouveau festival se prépare activement, les bénévoles sont à pied d’œuvre. Plusieurs activités sont activement préparées, dont un défilé de mode avant la séance de “Yves Saint-Laurent.
Et puis revoir ou peut-être découvrir “Ben-Hur” en version restaurée sur grand écran en cinémascope, quel bonheur !

Février 2018
Présentation du festival annuel !
Une désormais traditionnelle réunion de présentation du festival 2018, avec les bénévoles qui travaillent et ont travaillés sur le projet…

Avril 2018
Un ciné-débat qui attirera un grand nombre de spectateurs
Le sujet de ce ciné-débat est d’une actualité assez chaude encore, et la qualité du documentaire et des différents intervenants assureront une nouvelle belle soirée à Jacques DEMY.

Mai 2018
Un nouveau ciné-débat, sur le sucre
Après le film Sugarland, débat et dégustations (peu sucrée…)

Septembre 2019
Demy fête sa rentrée en musique
Demy fête sa rentrée avec comme sujet la musique !

Octobre 2019
Le cinéma lance sa première nuit du cinéma
4 films, une avant première, pour une soirée qui se termine à 2 heures du matin


Juin 2020
Premier confinement COVID 19 de mars/avril mai
L’année 2020 devait démarrer avec nos festivités habituelles : notre festival, qui devait juste suivre la période de représentation du théâtre : le Covid 19 fait son apparition et se développe et se répand rapidement, obligeant le gouvernement à imposer une fermeture du jour au lendemain d’à peu près tout.
Après 3 mois de confinement total, le cinéma ré-ouvre fin juin

Août 2020
Et si on se rattrapait pendant la période des vacances ?
Pour la première année, le cinéma reste ouvert durant tout le mois d’aout.
Les cinéphiles étant restés sur leur faim, il est décidé, après concertation avec les bénévoles, de maintenir le cinéma ouvert tout l’été.

Octobre 2020
Projection du film Plogoff, lors d’une soirée débat en présence de la réalisatrice Nicole Le Garrec
Cette année, nous présentons un certain nombre de films du patrimoine ayant pour thème les luttes. Celui-ci est présenté par sa réalisatrice, 40 ans après son tournage. Plusieurs spectateurs viennent d’assez loin pour assister à sa présentation.

Festival reporté du 20 octobre au 2 novembre…
… mais qui sera brutalement arrêté par décision gouvernementale
Notre festival marchait au delà de nos espérances, le programme était excellent, la fréquentation bonne, plusieurs séances supplémentaires pour les foyers ados et enfants…
Le film “Billie” fermera prématurément, nous privant à nouveau, entre autres films, du fameux “Cinéma Paradiso” et de la visite de la cabine au public

Mars 2021
Rassemblement sur le parvis du cinéma le dimanche matin 14 mars, en protestation de la fermeture des salles et du désintérêt pour la culture du gouvernement

En mai 2021, enfin la ré-ouverture !
Après 6 longs mois de fermeture (confinement, couvre-feu), le cinéma va pouvoir reprendre progressivement
Oui, vraiment progressivement, car au début, le couvre feu restera en place, ce qui ne va pas vraiment favoriser la fréquentation
La programmation se refait petit à petit, les distributeurs étant assez frileux pour sortir les quelques 450 films en attente…

Novembre 2021
Après une reprise progressive, le cinéma est resté ouvert à nouveau cette année au mois d’août. Puis le rythme reprend avec l’organisation de ciné-débats
A l’occasion de la projection du film de François Ruffin, un ciné-débat a lieu après le film, en présence de deux invités

En décembre, un nouveau ciné-débat sur le film “A la vie”
Le témoignage d’une sage-femme pour le film
Le témoignage d’une sage-femme pour le film
Les témoignages de plusieurs sage-femmes de la région animeront le débat

Janvier 2022
Le film Animal de Cyril Dion fait l’objet d’un passionnant débat
L’association la Canopéée St Yo de St Julien de Concelles s’occupe d’organiser des rencontres entre agriculteur, associations, militant. La salle est bien remplie, le débat enrichissant

30/08/2023 Divatte-sur-Loire. Le cinéma Jacques-Demy fait sa rentrée
Après une pause estivale d’un mois, le cinéma Jacques-Demy ouvre de nouveau ses portes mercredi. Au programme de cette salle classée Art et essai, un florilège de films qui ont marqué l’été.
Les films Barbie, Mission impossible, Yannick et la palme d’or Cannes 2023, Anatomie d’une chute, feront partie de la sélection variée associant films grand public et films Art et essai dont plusieurs en VO. Nous mettons un point d’honneur à offrir une programmation pour tous »,
ajoute Anne-Françoise Pillet, du collectif de bénévoles.
Vitesse de croisière
Demy fait également la part belle aux enfants. La programmation mensuelle pour les 3-6 ans reprend le premier dimanche de septembre, avec un tarif préférentiel de 3 €, pour les parents et enfants.
Si le cinéma connaît une baisse générale de la fréquentation, Jacques-Demy assure avoir retrouvé une vitesse de croisière. Au niveau des entrées, fin juillet, nous retrouvons pratiquement le nombre d’entrées qu’en 2019, période avant le Covid et les années qui ont suivi. C’est encourageant »,
précise Anne Françoise Pillet.
Une programmation de ciné-débat est en cours et le cinéma annonce, d’ores et déjà, son festival du 25 octobre au 6 novembre. Le cinéma participera également à l’opération Octobre rose : Nous accueillerons Alexandra Juste, qui, après son cancer du sein, a effectué de très longs voyages à vélo. Elle viendra nous présenter un film racontant son périple.
La tarification reste inchangée : 4 € jusqu’à 26 ans et pour les plus de 65 ans et 4 € le lundi soir, 5 € pour les autres jours. Nous sommes l’un des cinémas les moins chers de Loire-Atlantique.
À partir du mercredi 30 août, 11, rue du Stade. Programme détaillé : www.cinema-la-chapelle-basse-mer.fr
28/09/2024 Divatte-sur-Loire. Le cinéma Demy annonce ses nouveautés
Pour cette rentrée, le cinéma, porté par une équipe de soixante bénévoles, dévoile ses nouveautés : un festival, des partenariats locaux et de nouveaux équipements.
Le cinéma Jacques-Demy, soucieux d’apporter toujours plus de qualité au public, a investi cette année dans le son et l’image, avec un nouvel écran et un nouvel équipement sonore
, annonce l’équipe de bénévoles.
Avec la précieuse collaboration des bénévoles, François Thibault et Éric Macé, le site web a également fait peau neuve et devrait être accessible courant octobre. « Nous avons voulu une interface plus dynamique et plus facile d’utilisation pour le public
, indique Pascal Brin.
Un nouveau site internet et de nouveaux équipements
Sur l’écran, des nouveautés sont à venir. Nous préparons le prochain festival Demy en fête qui se déroulera du 23 octobre au 4 novembre.
La commission animation planche également sur un week-end Biopic musical. Le prochain film Aznavour pourrait s’intégrer dans ce format, mais aussi des anciens comme Bohemian Rhapsody ou Bob Marley, c’est en discussion »,
précise Arlette Benedetti.
Le cinéma mène également de nombreux partenariats locaux, en accueillant l’événement intercommunal Festi Familles vendredi et dimanche prochains, avec une séance gratuite pour les petits et un ciné-débat pour les parents »,
poursuit Nathalie Gautreau.
Dans le cadre de la Semaine bleue à destination des seniors, le cinéma Demy projettera le film Maison de retraite. Nous proposons toujours des séances dédiées tous les deux mois pour le foyer la Passerelle et la résidence le Clos du Moulin.
Les 10 000 entrées visées
L’équipe travaille également avec le cinéma du Loroux-Bottereau, étudiant « les partage de films en sortie nationale pour attirer un public pressé de voir des nouveautés ».
D’autres pistes sont également explorées. Nous pourrions proposer des thématiques communes, en alternance dans les deux cinémas »,
ajoute Sylvie Corbet.
newsletter
Concernant le bilan de fréquentations, au 31 juillet, nous comptabilisions 5 177 entrées, un léger recul par rapport à l’an passé ».
Les derniers films diffusés, comme le Comte de Monte-Cristo et Un petit truc en plus, ont fait remonter les chiffres. Nous visons les 10 000 entrées par an. C’est un chiffre que nous avions approché en 2019 »,
ambitionnent les bénévoles.
Derrière ce service culturel de proximité, il y a une grosse équipe de bénévoles dotée aujourd’hui de onze projectionnistes. Nous sommes à la recherche d’un projectionniste supplémentaire. Il suffit d’être investi, d’aimer le cinéma et l’informatique et nous nous occupons de la formation en interne »,
assure Jean-Michel Cornille.
05/10/2024 Mercredi, en ciné-débat, la vie de Bernard Lambert, paysan rebelle
Le cinéma Jacques Demy propose de voir, mercredi 9 octobre, le documentaire de Christian Rouaud, retraçant la vie de Bernard Lambert, agriculteur à Teillé, en Loire-Atlantique. Député à 27 ans, puis figure mythique des luttes paysannes dans l’Ouest au cours des années 1970, il est le fondateur du mouvement des Paysans travailleurs.
Dans son cycle de ciné-débat le cinéma Jacques Demy propose la diffusion d’un documentaire de Christian Rouaud, retraçant la vie de Bernard Lambert, agriculteur à Teillé en Loire-Atlantique. Député à 27 ans, puis figure mythique des luttes paysannes dans l’Ouest au cours des années 1970, il est le fondateur du mouvement des Paysans travailleurs.
Le documentaire Paysan et Rebelle remonte aux sources de la contestation paysanne et parcourt un demi-siècle d’évolution de l’agriculture en France. C’est aussi un portrait de groupe, car l’histoire de Bernard Lambert est racontée par ses proches, ses compagnons de lutte, sa femme Marie-Paule, ses amis de la Jeunesse agricole catholique, ses camarades du Parti socialiste unifié (PSU) ou des Paysans travailleurs »,
indique le réalisateur, Christian Rouaud.
Des inconnus ou des personnalités, tous parlent d’eux-mêmes en parlant de lui et constituent un récit à plusieurs voix, à la fois biographie singulière et fresque historique, histoire des idées et histoire des gens mêlées.
« C’était un orateur incroyable »
Claire Auguste, nièce par alliance de Bernard Lambert, l’a bien connu et se souvient de l’année 1974 : J’avais 20 ans, il avait 43 ans. Il était totalement impliqué dans la lutte syndicale. C’était un temps où il y avait beaucoup d’actions, de manifestations, des occupations de fermes entre autres. Je me souviens d’un homme fédérateur, à l’initiative des rassemblements au Larzac en 1973 et 1974 contre l’extension du camp militaire. Ce rassemblement fut un symbole de la convergence des luttes, née en 1968. Près de 100 000 personnes s’étaient rassemblées. Je me souviens aussi de son caractère, enthousiaste et généreux. C’était un orateur incroyable capable d’emporter les foules.
En 1984, Bernard Lambert devait intégrer le gouvernement de François Mitterrand au Conseil économique et social, mais il décède accidentellement cette année-là, à 53 ans.
Jean Bretonnière, maraîcher à la retraite, impliqué dans la défense des petits paysans, sera présent autour de la table du débat, avec le réalisateur Christian Rouaud.
Mercredi 9 octobre, 20 h 10, cinéma Jacques Demy, 11, rue du stade, à Divatte-sur-Loire. 5 €, réduit 4 €
22/10/2024 Quinze films à l’affiche du festival Demy en fête
Du 23 octobre au 4 novembre 2024, le cinéma de Diavette-sur-Loire déroule son 27e festival Demy en fête. Les bénévoles ont concocté une programmation renforcée et variée avec quinze films déclinés en vingt-trois séances.
« Il y en aura pour tous les goûts et tous les âges,
annoncent les organisateurs. Nous proposerons, en avant-première, un film très attendue : Louise Violet d’Éric Besnard, avec Alexandra Lamy et Grégory Gadebois. »
L’histoire est celle de l’institutrice Louise Violet qui doit imposer l’école de la République, gratuite, obligatoire et laïque, dans un village de la campagne française.
Certains films en version originale
D’autres projections seront également à l’affiche, comme Joker, de Todd Phillips, avec Joaquin Phoenix et Lady Gaga, ou encore Lee Miller, d’Ellen Kuras, avec Kate Winslet. « Ces deux films seront proposés en version française et version originale », indiquent les organisateurs.
Très attendue également, le dernier François Ozon, Quand vient l’automne, un thriller intimiste qui réunit à l’écran Hélène Vincent, Josiane Balasko et Ludivine Sagnier. Également à l’affiche, le film C’est le monde à l’envers !, de Nicolas Vanier, une comédie dystopique sur fond de crise économique et climatique.
D’autres propositions intéressantes sont au menu, comme Riverboom, une comédie documentaire de et avec Claude Baechtold, embarqué par deux reporters risque-tout dans un périple à travers l’Afghanistan en guerre. Mais aussi All we imagine as light, un film franco-indo-italo-luxembourgo-néerlandais réalisé par Payal Kapadia, qui évoque la société et le féminisme en Inde.
Jeune public et documentaires
Le festival proposera également deux films documentaires. Le premier, Forêt éternelle, de Cendrine Robelin, est une ode au vivant, une histoire de résilience, dans les paysages de la mythique forêt de Brocéliande.
Le second s’inscrit dans le mois de sensibilisation Octobre rose, en accueillant « Alexandra Husta qui présente son documentaire, Un voyage à vélo vers le grand Nord en Laponie après un cancer. La projection sera suivie d’un échange », expliquent les bénévoles.
Les enfants ne seront pas en reste, avec cinq films d’animation à l’affiche sur huit créneaux horaires. Pour parfaire ce temps fort, le cinéma ouvrira son stand pop-corn et s’égayera avec des animations pour les plus jeunes, il y aura des affiches à gagner et nous offrons un goûter aux séances de 15 h 10.
Du mercredi 23 octobre au lundi 4 novembre, cinéma Jacques-Demy, 11, rue du Stade, à Divatte-sur-Loire. www.cinema-jacques-demy.fr
20/10/2023 Alexandra Husta et sa revanche sur le cancer au cinéma Jacques-Demy, à Divatte-sur-Loire
Vendredi 20 octobre, le cinéma Jacques-Demy de Divatte-sur-Loire (Loire-Atlantique) accueillera Alexandra Husta, globe-trotteuse touchée par le cancer du sein, pour la projection du film Adventures of Tata Alex.
Dans le cadre de la campagne de sensibilisation Octobre Rose, le cinéma Jacques-Demy, à Divatte-sur-Lire (Loire-Atlantique) invite vendredi 20 octobre, à 20 h, Alexandra Husta pour un échange avec le public autour de la projection de son film Adventures of Tata Alex.
Après un cancer du sein en 2018, Alexandra Husta – alias Tata Alex – se lance un premier défi en solitaire et parcours en 2020, un tour de France de 5 200 km en trois mois, sur son vélo surnommé Jeannette, en hommage à sa grand-mère. En 2021, nouveau challenge, elle s’élance sur l’Eurovélo n° 6, de Saint-Brévin-les-Pins (Loire-Atlantique) à la Roumanie. Un tour d’Europe qui lui fera traverser une quinzaine de pays durant près de cinq mois.
Le vélo comme thérapie
Puis en 2022, elle prend la direction de la Laponie et affiche 10 000 km au compteur de son fidèle vélo. « Ce vélo c’est ma thérapie, c’est l’effort physique qui permet de sentir son corps bien vivant », confie-t-elle
Pour cette jeune femme, le voyage s’inscrit comme une revanche, un défi à la maladie. De son périple en Europe, Tata Alex a fait un film qu’elle vient désormais présenter au public. « C’est un hymne à la vie. L’idée étant évidemment de sensibiliser mais surtout de parler d’après cancer, de rage de vivre et de détermination », explique l’aventurière.
Alexandra Husta a également écrit un livre éponyme. Elle y retrace son quotidien de globe-trotteuse, y décrit des paysages, mais il y est question aussi de courage, de résilience et beaucoup d’espoir. « Lors de cette soirée, la place sera à 5 € pour tous et la recette sera versée à une organisation se recherche contre le cancer », précisent les bénévoles du cinéma.
Vendredi 20 octobre, à 20 h 10, au cinéma Jacques Demy. Entrée 5 €.

23/10/2024 Tata Alex ou le vélo-voyage comme remède
Dans le cadre de la campagne de sensibilisation Octobre rose, le cinéma Jacques-Demy, à Divatte-sur-Loire, invite, vendredi 25 octobre, Alexandra Husta pour un échange avec le public autour de la projection de son film, La Laponie et plus encore à vélo.
Après un cancer du sein en 2018, Alexandra Husta, alias Tata Alex, se lance un premier défi en solitaire. En 2020, sur son vélo surnommé Jeannette en hommage à sa grand-mère, elle s’élance dans un tour de France de 5 200 km durant trois mois.
En 2021, un nouveau challenge sur l’Eurovélo n° 6, de Saint-Brevin-les-Pins à la Roumanie. « C’était une façon de prouver à mon corps malmené par une chimiothérapie qu’il était encore capable de relever des défis », explique-t-elle. Elle en fera un premier film et un premier livre.
Une revanche sur le cancer
En 2022, Alexandra Husta enfourche de nouveau sa Jeannette pour rejoindre la Laponie. 181 jours de voyages, 10 450 km parcourus et dix-sept pays traversés. De ce dernier voyage, elle a fait un nouveau film qui parle de résilience, de richesse de la vie, de rencontres et de l’expérience d’une voyageuse en solo.
Un film drôle et pétillant, ponctué de défis à relever dans chaque pays. J’en ai réalisé de toutes sortes, près de 140.
Sans oublier les glaces à déguster à la moindre occasion, « une bonne soixantaine sur le périple », confie-t-elle.
Pour Tata Alex, le vélo est une métaphore de la vie, avec ses joies et ses difficultés, ses objectifs durs à atteindre, ses phases compliquées et ses moments délicieux. Il y a les côtes, puis les descentes, la pluie et le vent, le soleil et les paysages.
Pour elle, le voyage, et à vélo plus particulièrement, c’est aussi ressentir un vent de liberté, constant, être indépendante, rencontrer des tonnes de gens différents. Ma vraie revanche sur le cancer tient dans ces voyages.
Lors d’une rencontre, Alexandra Husta présentera également son second livre sur ce voyage vers la Laponie. « Pour chaque livre vendu, je reverse 1 € à la recherche pour le cancer », précise-t-elle.
Vendredi 25 octobre, à 20 h 10, à l’espace Jacques-Demy, 11, rue du Stade, à Divatte-sur-Loire. 5 €.
Divatte-sur-Loire. Projection d’un film dans le cadre d’octobre rose au cinéma Jacques Demy
Dans le cadre d’octobre rose, Alexandra Husta sera présente aujourd’hui au cinéma Jacques Demy à partir de 19 h afin de présenter le film de son voyage à vélo qu’elle a réalisé en 2022.
Suivra une séance dédicace. Après un cancer du sein en 2018, « Tata Alex » a réalisé un périple de Haute-Goulaine jusqu’en Laponie, puis d’Helsinki jusqu’en Toscane. Un total de six mois de vélo sur 10 000 km à travers 17 pays.
Le récit de son périple
Son nouveau film, rythmé par une musique entraînante, donne un aperçu de ses plus belles rencontres, ses coups de cœur et ses plus grosses galères.
Elle a également écrit un livre sur le récit de ses aventures dont le tome I s’est écoulé à plus de 1 000 exemplaires. Son tome II sur son voyage vers la Laponie est sorti en avril et s’est déjà écoulé à 400 exemplaires.
Ses récits sont auto édités et disponibles chez Coiffard, la Géothéque, Pôle Sud, Océane ou encore l’atelier du Poupoupidou à Nantes.
Pour chaque livre vendu, elle reverse 1 € à la recherche pour le cancer.
Sa conférence vise un très large public ; en effet lors de festivals de voyages à vélo elle a également participé à diverses tables rondes concernant le vélo voyage dont les thèmes étaient : les femmes et le vélo voyage ; le vélo comme thérapie ; la résilience ; le vélo pour les non-sportifs.
13/11/2024 Divatte-sur-Loire. La Fanfare du coin s’invite au cinéma
Parmi ses nombreuses propositions d’animations, le cinéma Jacques-Demy propose une semaine ciné-musique dédiée aux biopics musicaux, du mercredi 13 au lundi 18 novembre.
Le film Elvis, qui retrace la vie et l’œuvre musicale d’Elvis Presley ouvrira la session, ce mercredi. Il sera suivi, vendredi 15 novembre, du film Monsieur Aznavour, de Mehdi Idir et Grand Corps Malade. Le film En fanfare, d’Emmanuel Courcol, avec Benjamin Lavernhe et Pierre Lottin sera présenté, en avant-première, samedi 16 novembre. Pour cette occasion, nous invitons la Fanfare du coin du Loroux-Bottereau pour illustrer le propos, ils se produiront avant la projection sur un temps court »,
annoncent les organisateurs, qui répondent à une condition sine qua non pour obtenir cette avant-première. C’est une belle idée qui apporte du relief au film et donne une belle opportunité de découvrir des groupes musicaux locaux.
Le cinéma projettera ensuite Gainsbourg (vie héroïque), de Joann Sfar, dimanche 17 novembre, et clôturera ce ciné-musique avec le film Bob Marly One love de Reinaldo Marcus Green, lundi 18 novembre
Du mercredi 13 au lundi 18 novembre, cinéma Jacques-Demy, 11, rue du Stade. www.cinema-jacques-demy.fr
01/02/2025 Divatte-sur-Loire. Semaine du film palestinien : le film The Teacher, lundi
Dans le cadre de la 8e édition de la Semaine du film palestinien, le cinéma Jacques-Demy projettera, en VO? lundi, le film The Teacher, de Farah Nabulsi. La projection sera accompagnée d’un débat avec un membre de l’association France Palestine Solidarité »,
précisent les bénévoles du cinéma.
L’histoire : un instituteur palestinien s’efforce de concilier son engagement risqué dans la résistance politique avec la possibilité d’une nouvelle relation avec Lisa, une bénévole, et le soutien affectif qu’il apporte à l’un de ses élèves, Adam… Ce film, du réalisateur britannico-palestinien Farah Nabulsi, a été tourné en Palestine, à Naplouse. Sorti en septembre 2023, il a reçu six récompenses.
La Semaine du film palestinien est organisée par l’Association France Palestine solidarité (AFPS 44). Pour donner à voir les réalités palestiniennes, comprendre l’histoire et valoriser une production cinématographique variée et féconde, quatorze films seront projetés dans vingt-deux salles du département.
Lundi 3 février, à 20 h 10, cinéma Jacques-Demy 11, rue du Stade.
26/03/2025 Divatte-sur-Loire. Festival Playtime : deux films au cinéma Demy
Dans le cadre du festival Playtime, le cinéma Jacques-Demy, à Divatte-sur-Loire, propose deux films qui célèbrent les salles obscures, les mercredi 26 et lundi 31 mars.
Du mercredi 26 mars au vendredi 11 avril 2025, dans le cadre du festival Playtime, auquel participent une trentaine de salles de cinéma associatives de Loire-Atlantique, le cinéma Jacques-Demy, à Divatte-sur-Loire, propose deux films qui célèbrent les salles obscures, les mercredi 26 et lundi 31 mars.
En s’associant à ce festival, le cinéma s’inscrit comme lieu de culture et de rencontre essentiels à la vitalité des territoires. Derrière ces écrans, ce sont des équipes de bénévoles passionnés qui s’investissent avec énergie pour faire vivre ces cinémas et proposer une programmation de qualité. Leur engagement est essentiel
, exprimait dans un communiqué Michel Ménard, président du Département de Loire-Atlantique, partenaire de l’événement.
Un échange avec le public
Mercredi 26 mars, le cinéma projettera le film Spectateurs !, d’Arnaud Desplechin. Qu’est-ce que c’est, aller au cinéma ? Pourquoi y allons-nous depuis plus de 100 ans ? Entre souvenirs, fiction et enquêtes, le réalisateur veut célébrer les salles de cinéma et leurs magies. Il suit pour cela le chemin du jeune Paul Dédalus, comme le roman d’apprentissage d’un spectateur. À l’issue de la projection, nous accueillerons Nicolas Thévenin, enseignant de cinéma et directeur de la revue Répliques, pour un échange avec le public »,
annoncent les bénévoles du cinéma.
Lundi 31 mars, le cinéma proposera le film Empire of Light, de Sam Mendes. L’histoire : dans les années 1980, un vieux cinéma du Sud de l’Angleterre est le théâtre d’une histoire d’amour entre Hilary et Stephen, que pourtant tout semble opposer. En se rapprochant l’un de l’autre, ils vont apprendre à soigner leurs blessures grâce à la musique, au cinéma et au sentiment d’appartenance à un groupe
Mercredi 26 mars et lundi 31 mars, à 20 h 10, au cinéma Jacques-Demy, 11, rue du Stade ; www.cinema-jacques-demy.fr